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GearsOnline.net

Logo du site GearsOnline.netJe vous parlais il y a un certain temps de MAHQ, communauté de mechaphiles pour les mechaphiles, en omettant de vous préciser qu’il existe de nombreux autres lieux de ce genre sur la toile.

Ainsi GearsOnline. Ce qui le place à part de MAHQ, c’est l’emphase que fait son administrateur sur les éléments graphiques du genre mecha. Si on y trouve, comme sur la plupart des sites semblables, d’importantes données techniques – mais tout à fait fictives là aussi bien évidemment – sur les machines présentées, c’est la quantité d’images – qu’elles soient en couleurs ou en noir et blanc – que propose GearsOnline qui lui donne sa spécificité, et en fait ainsi un des lieux de prédilection des mechaphiles du monde entier.

Mais il n’y ait pas question d’illustrations à proprement parler, encore que vous en trouverez quelques-unes, plutôt de ce qu’on appelle des line arts – c’est-à-dire des types de dessins qui se résument à de simples lignes, d’où leur nom – en représentant ainsi leur sujet tel qu’il est dans l’absolu, sans aucune simulation d’éclairage ni de volume, et encore moins de matières. Seules ses formes sont tracées, sous leur aspect le plus simple.

Type d’image qui est d’ailleurs très prisé par les mechaphiles, ce qui n’a rien de bien surprenant : les line arts sont en effet l’opportunité d’examiner tous les détails – souvent nombreux au point d’en donner le tournis – de travaux où le souci du détail, justement, peut très bien atteindre des sommets que le profane ne soupçonne même pas la plupart du temps.

Mais vous y trouverez aussi des résumés des œuvres ainsi abordées avec la chronologie de leurs événements principaux, ainsi que des fiches sur leurs personnages, et bien d’autres choses qu’aucun mechaphile digne de ce nom ne saurait rater…

Le retour du Japanbar !

Logo du nouveau site JapanbarC’est après quelques mois d’interruption que le Japanbar rouvre enfin ses portes : des soucis d’ordre technique ayant perduré bien trop longtemps avaient en effet amené son équipe – dont je fais désormais partie d’ailleurs, au passage – à le retirer de la toile, au grand regret de ses nombreux habitués.

Cette période est maintenant révolue et le site se trouve à nouveau disponible, précisément depuis hier, avec un webdesign tout neuf. Vous y trouverez entre autres des infos sur l’actualité de la japanime, des chroniques et des articles sur des œuvres majeures (1), une liste de liens à ne pas manquer pour parfaire votre culture du domaine, un lexique des principaux termes utilisés dans les mangas et les animes, et puis – bien évidemment – un forum : j’espère d’ailleurs vous y retrouver bientôt…

Et même si vous connaissez mal la japanime – ce genre de chose arrive à beaucoup de gens – n’hésitez pas à venir y faire un tour quand même : ça peut être un excellent moyen de combler vos lacunes dans le domaine et, pourquoi pas, de vous découvrir une passion que vous n’auriez peut-être pas soupçonné – sans compter que cette communauté reste une des plus enthousiastes et des plus sympathiques que j’ai pu connaître (2).

D’ailleurs, ses chroniqueurs font tous preuve du plus grand sérieux dans la rédaction de leurs articles et critiques, et tous les écrits publiés sont systématiquement corrigés par l’ensemble de l’équipe pour en vérifier le bien-fondé et les qualités d’écriture avant publication (3) : simple question de respect du lecteur qui échappe à beaucoup…

Alors, si ça vous dit, et vous ne risquez bien entendu strictement rien à y jeter un simple coup d’œil, le site se trouve juste . Je vous y souhaite un très excellent séjour…

(1) rubriques encore assez peu fournies puisque la majorité des éléments écrits pour l’ancien Japanbar ont hélas été perdus, mais elles devraient s’étoffer dans les semaines qui viennent…

(2) non, je ne dis pas ça parce que je fais partie de son équipe : c’est ce que je pensais déjà avant de la rejoindre  ^^

(3) c’est entre autres à leurs efforts et leur dévouement que je dois une grande partie de la qualité de mon dossier sur Akira et de mes chroniques sur Mobile Suit Gundam: The Origin.

I Can Has Cheezburger

Logo du site I Can Has CheezburgerSi comme moi vous aimez les chats, vous apprécierez certainement le site I Can Has Cheezburger. Au contraire de ce que laisse penser son nom, il n’y est question de fast food que de façon très indirecte ; en effet, tout le concept de cette communauté tourne autour de l’idée que les chats raffolent de cheeseburgers, ce à quoi tous les connaisseurs de ces félidés ne trouveront rien de bien étonnant mais qui devient ici le prétexte de très franches rigolades quand on voit comment de banales scènes de la vie quotidienne peuvent être détournées.

Il y est donc question de lolcats, c’est-à-dire des photographies augmentées d’une légende humoristique au langage le plus souvent châtié, et qui ne concernent pas que les chats mais bel et bien tous les sujets possibles et imaginables. Les imageboards abondent de ce genre de détournements et les lolcats y ont trouvé une place toute particulière, pour ne pas dire franchement emblématique. Par ailleurs, le focus fait sur les chats dans de telles créations démontre bien comment ces animaux jadis haïs sous prétexte de relations inavouables avec le Démon ont pu enfin trouver leur chemin vers le cœur des hommes.

Avant que vous cliquiez sur le premier lien fourni au tout début de ce billet, il y a un détail qui mérite d’être mentionné : le site vers lequel ce lien vous mènera est tout en anglais, et précisément en anglais argotique – c’est-à-dire un anglais encore plus difficile à déchiffrer que le traditionnel – dont le nom même du site est d’ailleurs un exemple tout à fait révélateur. Mais si vous êtes fâché avec la langue de Shakespeare, il vous restera toujours les images, qui à elles toutes seules valent déjà bien le détour…

Framasoft : le réseau des logiciels libres

logo du site FramasoftÀ une époque où le débat sur le piratage n’est toujours pas tranché – chacun des deux partis persistant à camper sur une position qu’il juge tout aussi légitime que celle du camp adverse – il semble bon de rappeler qu’au moins un secteur des productions soumises à la propriété intellectuelle transcende cette dispute : c’est le domaine du logiciel libre.

Ce secteur regroupe l’ensemble des applications, programmes et systèmes d’exploitation libres de droits, c’est-à-dire dont l’utilisation par des tiers n’implique aucun reversement financier à leurs concepteurs. En d’autres termes, ils sont gratuits : leur téléchargement, leur installation et leur utilisation – à quelle fréquence que ce soit – ne coûte strictement rien. Pourtant, et c’est bien ce qu’il y a de plus surprenant à leur sujet, ils restent très peu diffusés et utilisés, car le public persiste à choisir des produits soumis au copyright sans pour autant avoir les moyens d’acquérir les droits de les utiliser…

Les raisons derrière cette sorte de dédain sont nombreuses et plus ou moins compréhensibles, mais la plus déterminante reste selon moi l’ignorance du grand public quant au vaste panel de produits que propose le monde du logiciel libre. Mais comme ce monde-là est en fin de compte bien fait, il propose aussi des lieux d’informations sur les solutions logicielles libres de droit.

Ainsi le réseau Framasoft qui, « issu du monde éducatif, […] est un réseau de sites web collaboratifs à géométrie variable dont le dénominateur commun est le logiciel libre et son état d’esprit. Il vise à diffuser le logiciel libre  et à le faire connaître auprès du plus large public. »

Vous y trouverez un annuaire des logiciels libres qui répertorie près de 1500 programmes classés en plus de 100 rubriques et sous-rubriques mais aussi accompagnés de tutoriels et de didacticiels pour faciliter votre initiation. La « tribune libre », quant à elle, vous fournira de nombreux articles d’information et de vulgarisation pour vous permettre de mieux cerner non seulement ce qu’est un logiciel libre mais aussi l’état d’esprit de la communauté qui les crée et les utilise.

Mais Framasoft propose également Framakey, une compilation organisée d’applications portables, et Framabook, une collections de livres et manuels d’utilisation tout autant libres d’utilisation que les logiciels dont ils traitent ; vous y trouverez aussi Framatube, qui regroupe plus de 100 vidéos autour du logiciel libre et de sa culture, ainsi que Framablog, observateur au jour le jour de l’actualité et des avancées de la « culture libre », et enfin Framagora, le forum qui joue le rôle de FAQ sur les logiciels libres mais aussi celui d’espace d’échanges et de débats sur les libertés numériques considérées dans leur ensemble.

Plus prosaïquement, disons qu’avec un tel réseau à disposition vous n’avez plus vraiment de raisons valables de continuer à ignorer le monde du logiciel libre et les solutions bien pratiques qu’il propose…

Je suis un geek libre !

Afiche de la campagne de recrutement Je suis un Geek libre !Si les temps de crise sont les occasions de remises en question, elles sont aussi souvent les prétextes à de beaux exemples de créativité : il faut bien savoir sortir des sentiers battus pour se démarquer de la concurrence après tout. En est témoin le site Je suis un geek libre ! qui nous offre l’opportunité de voir une campagne de recrutement pour le moins inattendue.

En détournant de la sorte des campagnes de publicité bien connues pour leur côté sexy, cet annonceur se place dans une continuité mais aussi en marge – ce à quoi la réclame nous a habitué depuis longtemps. Là où le travail est quand même bien fait, c’est qu’il témoigne d’une connaissance de la « geek attitude » tout à fait pertinente, notamment en montrant ses représentants comme des sex symbols et en en démontant ainsi le cliché qui a la vie dure – ce qui a au moins le mérite de replacer les choses dans un contexte plus proche du réel, chose pour le moins rare dans le domaine de la comm’…

Si j’ai déjà abordé le sujet de la publicité avec la chronique récente d’un ouvrage qui en démonte l’univers, et donc les tenants et les aboutissants réels, il m’a néanmoins paru important de vous signaler cette initiative : car si les temps de crise sont les occasions de remises en question, comme je le disais au début de ce billet, elles sont aussi – hélas – des périodes de graves pénuries d’emploi, comme nous le savons tous…

Frank Frazetta (1928-2010)

"Death Dealer" : l'une des œuvres les plus représentatives de l'art de Frank FrazettaC’est avant-hier, lundi, que Frank Frazetta a fini par croiser le chemin du Death Dealer, qui reste à ce jour une de ses œuvres les plus célèbres et dont vous trouverez une reproduction ci-contre.

Né à Brooklyn en 1928, il intégra l’Académie des Beaux-Arts à 8 ans et perfectionna son art sous la tutelle de Michael Falanga qui, époustouflé par le talent de son élève, rêvait de l’envoyer étudier en Europe. Mais quand l’Académie ferma, c’est à l’âge de 16 ans à peine qu’il dut gagner sa vie. Ainsi, Frazetta commença à travailler dans l’industrie du comics, d’abord comme assistant de John Giunta sur la série Snowman, puis sur des titres de divers genres tels que westerns, fantasy, policiers… Le début des années 50 le vit produire pour des éditeurs comme EC Comics ou National Comics, entre autres, seul ou bien en duo avec d’autres créateurs parfois de renom – dont la série mythique Flash Gordon, en collaboration avec Dan Barry lui-même. Il eut aussi son propre comic strip, Johnny Comet, de 1952 à 1953.

Mais c’est en 1962 qu’il commença cette carrière d’illustrateur qui allait le rendre célèbre en le plaçant aux côtés des plus grands noms du domaine, tels que Frank Kelly Freas ou Virgil Finlay. Tout en dessinant pour des publications comme Playboy, il fit de nombreuses illustrations pour les comics Buck Rogers (1) et les magazines Creepy, Eerie et Vampirella, ou encore pour des séries de romans d’Edgar Rice Burroughs telles que Tarzan et John Carter ; mais c’est surtout son travail sur Conan le Barbare qui reste célèbre pour avoir redéfini la représentation du genre heroic fantasy, au point d’avoir eu une influence peu discutable sur des générations d’artistes suivantes. Autant de travaux où son immense talent prit toute sa mesure à travers une maîtrise époustouflante de la peinture dans les rendus de paysages et de personnages au sein de mondes et d’âges imaginaires…

Son net penchant pour les héros musclés et les dames aux formes suggestives fit de ses travaux les candidats tout désignés pour illustrer les couvertures d’albums d’heavy metal tels que Flirtin’ With Disaster de Molly Hatchet ou bien Expect No Mercy de Nazareth, ou encore Hard Attack de Dust. Il collabora aussi très activement au film Tygra, la Glace et le Feu de Ralph Bakshi, sorti en 1983, pour lequel il créa de nombreux personnages et échafauda la plus grande partie de l’histoire. Sa peinture Death Dealer, évoquée au début de ce billet, connut un grand succès et devint une icône très populaire chez son public, au point de voir son personnage lui-même romancé, et notamment dans le film Tygra… déjà cité.

Son recueil The Fantastic Art of Frank Frazetta, en cinq volumes, s’est vendu à plus d’un million d’exemplaires dans le monde ; en novembre dernier, le magazine en ligne Wired annonça que sa couverture pour Conan le Conquérant, publiée par Lancer Books en 1967, fut vendue pour un million de dollars à un acquéreur anonyme, ce qui démontre bien que l’admiration suscitée par l’œuvre de Frazetta demeure intacte longtemps après que son auteur ait cessé de produire à un rythme soutenu – entre autres problèmes de santé, une thyroïde mal soignée mais surtout une série d’attaques cardiaques l’avait laissé très diminué.

C’est la dernière de ces attaques qui a emporté Frank Frazetta lundi matin, à l’hôpital de Fort Myers, en Floride : la crise s’était déclarée la veille en début de soirée alors qu’il rentrait d’un diner de Fête des Mères avec ses proches. Il laisse derrière lui une œuvre immense, qui enchante encore des millions de gens à travers le monde – des lecteurs de fantastique et de fantasy aux fans de comics et de BD en passant par les adeptes de jeux de rôle – mais qui inspira aussi d’innombrables créateurs – du cinéma et du jeu vidéo comme de la BD ou du rock.

(1) voir un spécimen sur le site Comics.org.

MAHQ.net

Logo du site MAHQMAHQ – l’acronyme de Mecha and Anime HeadQuarters – a fait peau neuve il y a peu, ce qui est une belle occasion pour vous en parler.

Lancé il y a tout juste dix ans, quoique sous un nom assez différent à l’époque, ce site est vite devenu le point de rendez-vous de tous les mechaphiles occidentaux, et de beaucoup des autres aussi. Avec /m/ et quelques autres lieux de la toile axés autour du même thème, MAHQ rassemble ainsi une communauté de spécialistes – dont beaucoup sont très hautement qualifiés dans leur domaine – autour d’un forum à présent devenu légendaire sous le nom de MechaTalk.

Mais vous y trouverez surtout une encyclopédie en ligne, non seulement d’animes et de mangas de mechas mais aussi d’un nombre pas croyable d’engins présents dans les productions les plus représentatives du genre, avec toutes leurs caractéristiques techniques – fictives, bien entendu. Il y est également question de maquettes, car tout mechaphile sait bien quelle place de tels « jouets » tiennent dans cette culture pour le moins particulière – elles furent longtemps le seul moyen d’examiner en détail le fantastique travail de designers d’immense talent…

Ah, un dernier détail : vous remarquerez vite que ce site est anglophone, mais comme cette « version 2.0 » a été bien pensée elle inclut la fonctionnalité de traduction de Google, de sorte que vous pourrez ainsi parcourir MAHQ en français si vous le souhaitez.

En fait, vous n’avez plus aucune excuse maintenant…

Iman Maleki

Jeune fille à la fenêtre, tableau d'Iman MalekiL’image qui illustre ce billet n’est pas une photo mais une peinture. Elle est l’œuvre d’Iman Maleki, actuellement considéré comme un des plus grands peintres au monde dans le domaine du réalisme.

Si cette branche particulière de la peinture vit le jour au milieu du XIXème siècle – notamment avec les travaux de Camille Corot, Gustave Courbet et Jean-François Millet, entre autres – il se vit concurrencé d’abord par l’impressionnisme puis par la photographie : une fois celle-ci inventée, il ne fut plus nécessaire de passer de longues heures à dépeindre la réalité dans sa plus grande exactitude puisqu’un simple appareil permettait de l’obtenir avec tous ses moindres détails en pressant un simple bouton. C’est ce qui mena petit à petit à l’Art Abstrait, qui demeure à ce jour la plus grande évolution de l’Art même si elle reste souvent peu prisée du grand public… Les hyperréalistes, de leur côté, tentèrent de dénoncer la froideur des photographies, selon eux tout à fait incapables de retranscrire les émotions qui font l’Art : à ma connaissance, ce débat n’a pas encore connu de conclusion satisfaisant les divers partis.

Pour sa part, Iman Maleki se contente de faire ce que tous les artistes sont supposés faire : créer, et laisser l’Histoire juger. Il est intéressant de noter que cet iranien a commencé à étudier la peinture à seulement 15 ans, car on oublie souvent que les grands maîtres d’antan, ceux de  la Renaissance ou avant, entamaient leur formation dans ce domaine à peu près à cet âge-là – et souvent même plus tôt – de sorte que la maîtrise de leur art était quasiment parfaite avant même d’avoir atteint la vingtaine…

De toute évidence, Maleki n’a rien à leur envier, ou si peu : la simple visite de son site web vous permettra d’en juger.

Brickshelf

Logo du site BrickshelfVous connaissez bien entendu les LEGO, ces « briques » – c’est leur petit nom – inventées il y a plus de 60 ans par le danois Ole Kirk Christiansen et qui restent à ce jour un des jeux les plus répandus au monde ; au point qu’il a franchi les limites d’âge et se voit toujours utilisé par des gens dont on aurait peine à croire qu’ils en sont restés là…

Sauf qu’ils n’en sont pas restés « là » évidemment. Ou pas exactement « là » en tous cas. En fait, ils proposent souvent des constructions dont le niveau d’imagination et de créativité qu’elles requièrent défient… l’imagination, justement.

En est témoin le site Brickshelf. Vous y trouverez des créations que vous n’aurez peut-être jamais cru possibles. Sur tous les thèmes. J’ai bien dit tous. N’hésitez pas à vous y rendre si vous avez des difficultés à le croire, ce qui du reste est tout à fait compréhensible. D’ailleurs, le sujet est si vaste qu’il devient inutile de continuer à écrire dessus : il vaut mieux quelques bonnes images que trop de mots.

Et si jamais votre créativité se trouvait émoustillée de cette visite, pour un court instant ou pour une longue vie de création, le moteur de recherche de votre choix vous donnera en un clic l’adresse internet du magasin officiel en ligne de LEGO, à partir duquel vous pourrez obtenir toutes les briques dont vous avez besoin.

Et même davantage…

P.S. : ne manquez surtout pas la rubrique « mecha » du site, elle vous surprendra certainement…


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